Les profs de français langue seconde ont la parole

Afin de mettre en lumière le métier de professeur.e de français, nous avons demandé à nos enseignant.e.s de nous parler de leur passion et de leur métier.

À l’image de la profession, on vous les présente en ordre alphabétique!

Ce que je préfère, c’est mon rôle de médiatrice

Nom : Laura Bourrel

Faculté/École : Faculté des Arts – Centre d’enseignement du Français

J’enseigne le français depuis 7 ans et j’ai immédiatement été fascinée par la richesse des échanges qui se déroulent au sein d’une classe de langue seconde et par la motivation des étudiant·es. Au Québec, en tant qu’enseignant·es de FLS aux adultes, nous évoluons dans des milieux variés tels que la francisation, le collégial ou le milieu universitaire. Chaque contexte apporte des réalités et des objectifs d’apprentissage différents, ce qui rend notre travail particulièrement stimulant. Ce que je préfère, c’est mon rôle de médiatrice, aider les étudiant·es à comprendre la langue française, la société québécoise, en favorisant les échanges interculturels. Récemment, un étudiant débutant m’a partagé sa joie d’avoir pu échanger en français dans un commerce. Une petite victoire, qui confirme ma passion pour l’enseignement. 

 

Nous sommes pour nos étudiants des portes d’entrée […]

Nom : Dana Gavrila-Alexandrescu 

Faculté/École : École d’éducation permanente

Nous sommes pour nos étudiants des portes d’entrée dans une culture qui n’est pas très familière ou, au moins, elle est différente de la leur. 

Nous sommes des guides à l’intérieur d’une langue qui donne une règle et 10 exceptions, à force de l’avoir ciselée pendant des siècles, comme les dentelleries en pierre d’une cathédrale gothique. 

Et, parfois, nous y sommes leur seul repère, leur seul contact. 

Mais, en même temps, c’est une occasion pour tous, enseignants et étudiants, de rester ouverts en permanence à d’autres mondes et de s’enrichir, sans avoir besoin de voyager, car tous les continents sont là, dans notre petit Babylone, et le français est notre chance unique de s’entendre et de communiquer. 

 

J’ai le privilège d’accompagner des apprenants inspirants, aux parcours variés

Nom : Katy Hojjat

Faculté: École d’éducation permanente

Au début de mon parcours professionnel, j’ai rapidement réalisé à quel point le contact humain et l’enseignement me motivaient. En effet, enseigner le FLS est une excellente occasion de découvrir de nouvelles cultures et des personnes d’horizons différents. J’ai le privilège d’accompagner des apprenants inspirants, aux parcours variés. J’ai l’impression d’apprendre autant qu’ils apprennent, ce qui est  très enrichissant. 

Pour conclure, j’ai un message pour les étudiants : l’apprentissage d’une langue est un voyage qui prend du temps, mais chaque pas vous rapproche de vos objectifs. Parfois, les progrès ne sont pas visibles immédiatement. Ne vous découragez jamais! Vous verrez que vos efforts finiront par porter leurs fruits.

 

C’est incroyable toutes les comparaisons qu’on peut faire entre les différentes langues

Nom : Mélina Martin

Faculté/École : École d’éducation permanente

Ce qui me nourrit le plus dans ce travail, c’est la rencontre avec les étudiant.es et les échanges que nous avons sur la langue, mais aussi sur plusieurs autres sujets. C’est incroyable toutes les comparaisons qu’on peut faire entre les différentes langues. C’est si vaste et enrichissant! De plus, comme je travaille principalement pour les cours de communication écrite, j’ai le privilège de lire beaucoup de textes qui contiennent les pensées, les expériences et les opinions des étudiant.es. Grâce à ce partage, je m’ouvre à d’autres horizons et à d’autres façons de pensée.

 

C’est justement en salle de classe que je trouve ma motivation

Nom : Tomasz Maciej Kiczka 

Faculté/École : École d’éducation permanente

Pour moi, l’enseignement est un domaine d’activité professionnelle unique. Particulièrement, l’enseignement du français langue seconde. Je n’ai vraiment pas besoin de chercher ma motivation pour aller au travail. C’est justement en salle de classe que je trouve ma motivation. Les étudiants me posent des questions, me remettent en question, m’inspirent, partagent avec moi leurs histoires, leurs points de vue, leurs joies, leurs inquiétudes, leurs espoirs et leurs déboires. Il m’est impossible de rester indifférent face à tout ce qui les anime.

L’apprentissage de la langue française est aussi une expérience toute particulière à Montréal. Le français est ici multidimensionnel : c’est une activité intellectuelle enrichissante, une rencontre avec des sonorités qui ne nous sont pas toujours familières, une acquisition de nouvelles façons de percevoir le monde autour de nous. C’est aussi, ou peut-être surtout, un pont vers une nouvelle vie que mes étudiants veulent connaître et apprivoiser. Je les accompagne sur ce chemin et, de façon inattendue, je m’y découvre aussi un peu mieux moi-même. 

 

[…] le rôle du professeur de langue ne se limite pas à « transmettre le savoir »

Nom : Alida Soucé 

Faculté/École : Faculté des Arts – Centre d’enseignement du Français

Cette année, j’ai la chance de célébrer mes 10 ans d’enseignement au Centre d’enseignement du français de l’Université McGill et je m’estime heureuse d’exercer non seulement le métier de mes rêves mais aussi une vraie passion.

En 2013, j’ai commencé ma carrière d’enseignante dans une modeste salle au sous-sol d’une association, où je donnais des cours d’alphabétisation en français. À ce moment précis, j’ai compris une chose pour ma carrière : Peu importe le cours ou le niveau enseigné, le rôle du professeur de langue ne se limite pas à « transmettre le savoir ». Il consiste avant tout à créer une communauté de locuteurs, en leur offrant les outils nécessaires pour communiquer avec confiance. Ainsi, j’ai continué à cultiver un fort sens de la communauté dans mes salles de cours dans tous les milieux où j’ai enseigné. Si j’arrive à décrocher des rires et des sourires et à créer des liens durables entre les personnes, ma mission est en partie accomplie ! 

 

Bien plus qu’un métier, c’est une aventure

Nom : Narimane Wanis

Faculté/École : Faculté des Arts – Centre d’enseignement du Français

Enseigner, ce n’est pas juste un métier. Enseigner, c’est avant tout une aventure. Une aventure pédagogique qui va bien au-delà de la transmission d’un savoir. C’est un véritable voyage humain et intellectuel qui nous plonge chaque jour dans une aventure unique. C’est avant tout des rencontres, des découvertes, des liens qui se tissent, des vérités qui se révèlent et des défis qui se dessinent. 

Pour moi, mon aventure a commencé en Égypte, c’est là que ma passion pour l’enseignement a grandi. Ensuite, cette profession m’a emmenée au-delà des frontières géographiques, c’est en France que j’ai poursuivi mes études de master et de doctorat. Et aujourd’hui, c’est au Canada que mon aventure se poursuit. Chaque rencontre, chaque interaction, chaque sourire raconte une histoire et laisse une trace. 

Enseigner n’est pas seulement un métier. C’est un parcours sans fin, c’est un périple qui nous emmène loin, là où l’on en apprend autant sur soi-même que sur les autres. 

 

Voici une liste de 25 sigles et acronymes utiles au Québec 

Transport 

STM – Société de transport de Montréal 

RTL – Régie de transport de Longueuil 

STL – Société de transport de Laval 

REM – Réseau express métropolitain 

 

Commerces et services 

SAQ – Société des alcools du Québec 

SAAQ – Société d’assurance automobile du Québec 

RAMQ – Régie de l’assurance maladie du Québec 

BANQ – Bibliothèque et Archives nationales du Québec 

SEPAQ – Société des établissements de plein-air du Québec 

OBNL – Organisme à but non lucratif 

 

Finance 

CELI – Compte d’épargne libre d’impôt 

REER – Régime enregistre d’épargne-retraite 

REEE – Régime enregistré d’épargne-études 

TVA – Taxe de vente du Québec 

TPS – Taxe sur les produits et services 

 

Éducation 

CPE – Centre de la petite enfance 

CÉGEP – Collège d’enseignement général et professionnel 

DEC – Diplôme d’études collégiales 

MES – Ministère de l’Enseignement supérieur 

BCI – Bureau de coopération interuniversitaire  

 

Autres incontournables 

CV – Curriculum vitae 

NAS – Numéro d’assurance sociale 

NIP – Numéro d’identification personnel 

PVI – Pour votre information (l’équivalent de FYI en anglais) 

SVP – S’il vous plait 

 

Il en existe évidemment beaucoup plus mais c’est un début! 

Vivre McGill en français – Une nouvelle année à l’horizon

Au début d’une nouvelle année universitaire, l’enthousiasme est palpable et les possibilités sont infinies. J’adore voir l’animation revenir sur nos campus quand les McGilloises et les McGillois entament un nouveau parcours de découvertes, de collaboration et d’épanouissement intellectuel.  

Cette année, le retour en classe se déroule sur fond de difficultés diverses au Québec, au Canada et ailleurs dans le monde, lesquelles se répercutent directement sur notre université et sur les membres de sa communauté.  

Ces circonstances nous poussent à continuer de miser sur la mission de l’Université, qui nous fédère tous et toutes – l’enseignement, l’apprentissage et la recherche –, et à consacrer notre énergie et nos aptitudes à faire évoluer la société. Nous n’oublions pas les principes de l’Université McGill, soit la liberté académique, l’intégrité, la responsabilité, l’équité et l’inclusivité, qui permettent à notre établissement de prospérer.  

À l’orée de la session d’automne, en cette saison qui suscite l’espoir et élargit le champ des possibles, il est bon de réfléchir aux moyens à employer pour interagir avec ouverture et compassion, malgré tout ce qui peut nous diviser. Personne au sein de notre communauté ne devrait faire l’objet de harcèlement ni d’intimidation, sous quelque forme que ce soit; en créant un milieu peu hospitalier, le manque de respect et les menaces peuvent provoquer des réactions négatives. L’Université McGill s’est donné comme priorité d’offrir à sa communauté un cadre propice à l’épanouissement de notre humanité commune, où la diversité, l’empathie et la compassion sont valorisées.  

Quelles que soient les circonstances, notre université est toujours demeurée fidèle à sa mission, et elle le restera encore cette année. Après tout, les McGilloises et les McGillois savent qu’une épreuve est une invitation à se dépasser et à accomplir de grandes choses.  

Trouvons de nouvelles façons de collaborer et d’innover. Repensons la place qu’occupe McGill en tant qu’université d’envergure mondiale solidement ancrée dans sa collectivité. Élevons le débat en faisant preuve de rigueur et d’esprit critique, dans la courtoisie et le respect.  

Travaillons ensemble, et nous aurons de nombreuses occasions d’atteindre de nouveaux sommets, riches de notre créativité sans bornes et de notre curiosité insatiable, de notre respect les uns des autres, au-delà des différences, et de notre soif intarissable d’excellence – qualités qui nous ont permis de nous démarquer pendant plus de deux siècles.  

Le début d’une année universitaire revêt une signification différente pour chacun : c’est l’occasion de fixer de nouveaux objectifs, d’élargir nos horizons et de nous épanouir. Pour ma part, ce début d’année me rappelle, d’abord et avant tout, le privilège qu’il m’est donné de faire partie d’une communauté aussi brillante et dynamique.  

Je vous souhaite une très belle année.  

Cordiales salutations,

Deep Saini
Recteur et vice-chancelier
Université McGill


Nouveaux visages mcgillois – Pourquoi j’ai choisi McGill

Que ce soit en droit, en littérature, en éducation, en médecine ou en français, de nombreux et nombreuses francophones et francophiles de tous les horizons ont choisi McGill pour se dépasser.  

Place aux présentations!

Nom : Joe Haddad
Faculté : Droit
Diplôme :  BCL/JD 

Pourquoi j’ai choisi le droit

Je m’appelle Joe et je viens tout juste de faire ma rentrée à McGill pour commencer mes études en droit dans le programme intégré BCL/JD.

Comme son nom l’indique, ce programme “intègre” deux systèmes juridiques à portée internationale, des traditions juridiques diverses et, ma partie préférée, deux langues d’apprentissage.

Étant francophone, j’ai toujours été méfiant d’une éducation entièrement en anglais, par crainte d’échouer ou de moins bien réussir.

Mais en étudiant à la Faculté de droit de McGill, j’aurai non seulement l’occasion de m’améliorer en anglais, mais aussi de renforcer et, par extension, de solidifier mon bilinguisme.


Nom : Tess Guillou
Faculté : DLTC, faculté des Arts
Diplôme : Langue et littérature française volet Études et pratiques littéraires

Pourquoi j’ai choisi la littérature

Un jour, une petite fille est passée devant McGill. A promis à sa maman qu’elle étudierait là. Parmi les bâtiments de pierres et de magie, elle avait trouvé sa place. Cette petite fille, c’est moi. Tess Guillou. 

Me voici, des années après, étudiante au Département des littératures de Langue Française de Traduction et de Création, à la Faculté des arts. Et dire que j’avais envisagé de m’inscrire en sciences…. Depuis longtemps les mots me parlent. Me guident. Me content des histoires que je me plais à retranscrire, à modifier. J’ai beau avoir essayé de les mettre de côté, ils se sont rappelés à moi. Et je n’ai rien pu y faire. Je n’imaginais pas mon monde sans l’écriture. J’avais ce besoin impérieux d’en apprendre plus. Alors, quand est venu le moment de faire un choix j’ai laissé la voix de la raison de côté. Les lettres, c’étaient mon choix du cœur. La création, ma passion. Ainsi donc, je m’élance vers une spécialisation enrichie en création littéraire.
Parce que, pour une fois, j’ai osé.  Et je ne regrette rien.


Nom : Alexandre Pfalzgraf-Reny
Faculté : Faculté de médecine et sciences de la santé, Campus Outaouais
Diplôme : MDCM, promotion 2028

Pourquoi j’ai choisi la médecine

Depuis toujours, j’ai mille et une raisons de vouloir étudier la médecine. La plus importante demeure mon envie d’acquérir les connaissances et les outils nécessaires pour améliorer de manière significative la qualité de vie des patients à travers leur santé. Depuis mon enfance, j’ai été animé par un profond désir d’aider les autres. Être médecin pour moi est d’œuvrer dans un domaine où chaque jour apporte son lot de défis ainsi que l’opportunité de soulager les souffrances inutiles et d’apporter un réel soutien aux individus.


Nom : Julia Minardi
Faculté :  Département d’études intégrées en science de l’éducation
Diplôme : Baccalauréat en éducation préscolaire et primaire, option Pédagogie de l’immersion française

Pourquoi j’ai choisi l’éducation

Depuis l’âge de 5 ans, j’ai eu une éducation en français, tout en étant bilingue. J’ai longtemps hésité entre continuer à étudier en français ou faire le saut vers l’anglais. J’avais une angoisse de ne pas être à la hauteur. Je voulais exceller autant en anglais qu’en français.

En choisissant McGill, j’ai finalement plongé tête première vers une éducation inclusive et bilingue. Grâce à l’option pédagogie de l’immersion française (PIF), j’apprends que les langues que je possède font partie de mon identité. Être bilingue ne veut pas dire être parfaite dans les deux langues. Le bilinguisme me permet d’exprimer la personne que je suis. Je souhaite transmettre ceci à mes élèves. C’est un immense privilège que d’avoir plusieurs langues à son actif.


Nom : Loïc Arseneau
Faculté : Faculté des arts
Diplôme : Langue et littérature française volet Études et pratiques littéraires

Pourquoi j’ai choisi la littérature

Je m’appelle Loïc Arseneau et je fais une spécialisation enrichie en Langue & littérature françaises volet Études et pratiques littéraires à la Faculté des arts. J’ai choisi la littérature parce qu’elle m’enseigne une façon d’appréhender le monde qui me plaît particulièrement. À travers elle, je peux découvrir et m’approprier une foule de sujets. Étant autant intéressé par le droit, la sociologie, la linguistique, la danse, la neuroscience, etc., j’ai longtemps peiné à choisir un programme universitaire. Il m’est apparu que, grâce à la littérature, je serais en mesure de toucher à tous les domaines qui m’interpellent et de mieux comprendre le langage de chacun.


Nom : Marta Moroni
Faculté : Centre d’enseignement du français, Faculté des arts
Cours : FRSL

Pourquoi j’ai choisi le français

Je m’appelle Marta Moroni et je suis une étudiante italienne en échange à McGill pendant ma dernière année de licence en droit. J’ai décidé de profiter de ce temps à Montréal pour améliorer mon français tout en apprenant des notions de base sur les médias francophones et en faisant de nouvelles connaissances. En général, je trouve qu’apprendre une langue est une façon amusante et engageante de se rapprocher d’une communauté et de rencontrer des gens intéressants avec des perspectives uniques, et c’est pour ces raisons que je me suis inscrite à McGill au Centre d’enseignement du français.


Nom : Monica Lywou Tonlé
Faculté : Faculté de médecine et sciences de la santé, Campus Outaouais
Diplôme : MDCM, promotion 2028

Pourquoi j’ai choisi la médecine

« En médecine, le langage est un outil aussi puissant que le bistouri. » Dr. Lown

Ayant collaboré avec plusieurs organismes communautaires, j’ai constaté l’impact considérable des discours des médecins lors de plaidoyers en faveur des populations vulnérables. En tant qu’acteurs sociaux, les médecins allient science et engagement. Inspirée par cette influence, je souhaite devenir la porte-parole des communautés marginalisées et laisser une empreinte de changements positifs. La parole, écho de l’âme, a le pouvoir de toucher autrui, et je désire l’utiliser pour engendrer des transformations profondes, positives et significatives.


La rentrée littéraire à McGill

La rentrée n’est pas qu’académique à McGill, elle est aussi fièrement littéraire!   

Saviez-vous qu’Éric Dupont, auteur renommé, travaille à McGill? Il vient de publier son nouveau roman, La ricaneuse, pour la rentrée. Il en est de même pour Alain Farah, Prix littéraire du Gouverneur général 2022, qui propose cet automne une version de poche de Mille secrets, mille dangers. Isabelle Daunais publie quant à elle l’essai La beauté du roman.  

Dominique Fortier, diplômée et première auteure québécoise récipiendaire du prestigieux  prix Renaudot de l’essai 2020, et du Prix littéraire du Gouverneur général 2016, nous offre La part de l’océan, son tout dernier roman.  

Et que dire de plusieurs étudiant·e·s et diplômé·e·s du Département des littératures de langue française, de traduction et de création (DLTC) dont les œuvres se retrouveront cet automne sur les rayons des librairies! 

À vous de les découvrir mais surtout de les LIRE! 

Auteur: Eric Dupont
Titre : La ricaneuse
Maison d’édition : Marchand de feuilles

En résumé : Plongez dans un voyage captivant qui vous ramènera de l’Expo 67 aux rues du Montréal des années 1870. Suivez le jeune Aimé alors qu’il navigue dans une version fantastique du monde que nous connaissons. Préparez-vous à un mélange captivant d’histoire, de mystère et d’imagination. (Source : Marchand de feuilles) 

Pour plus d’informations sur ce roman 

Lisez l’article de La Presse! 


Auteur: Alain Farah 
Titre: Mille secrets mille dangers (format poche) 
Maison d’édition: Le Quartanier 

En résumé : Roman sur la famille, la maladie, l’immigration, la religion et le deuil, Mille secrets mille dangers raconte l’absurde et douloureuse comédie d’une vie qui prend plus qu’elle ne donne.  (Source : Le Quartanier) 

Pour plus d’informations sur ce roman  


Autrice : Isabelle Daunais 
Titre :  La beauté du roman
Maison d’édition : Boréal 

En résumé : On parle volontiers d’un « bon » roman et l’on sait alors immédiatement à quoi l’on a affaire : une histoire bien menée, bien tournée, remplie d’événements dont les développements retiennent notre attention. En revanche, que veut-on dire exactement quand on parle d’un « beau » roman… ?  (Source : Boréal) 

Pour plus d’informations sur ce roman  


Autrice: Dominique Fortier 
Titre :  La part de l’océan 
Maison d’édition : Alto 

En résumé : Alors qu’il est plongé dans la rédaction de Moby Dick, Herman Melville fait la connaissance de Nathaniel Hawthorne, une rencontre qui bouleversera le cours de sa vie et celui de son roman. (Source : Alto) 

Pour plus d’informations sur ce roman 


Cette année, les étudiantes du DLTC enchaînent les accomplissements! Après Camille Garant-Aubry, c’est au tour de Mégane Desrosiers (étudiante à la maîtrise) de publier, cet automne, son tout premier livre!  

Autrice: Mégane Desrosiers  
Titre :  La bouche pour montrer une série de lames 
Maison d’édition : Les herbes rouges 

En résumé : La bouche pour montrer une série de lames est le dialogue intérieur d’une Jonas qui pisse dans le ventre de la baleine, une enfant jamais adéquate, une ouvrière du sens de sa vie, une plaideuse agile qui aiguise notre oreille pour qu’on entende son chant « toujours sur une fréquence étrangère ». (Source : Herbes rouges) 

Pour plus d’informations sur ce roman

Autrice: Camille Garant-Aubry 
Titre :  Ceci n’est pas un jardin 
Maison d’édition : La Mèche 

En résumé : Ceci n’est pas un jardin est un récit en fragments où le végétal participe à un détournement de la parole. Des représentations de plantes envahissantes permettent à la narratrice d’illustrer ses pensées invasives; ses symptômes dépressifs et anxieux se matérialisent dans son appartement, bouchent les drains et font tomber les cadres. L’espace qu’elle parvient à conquérir se fait au prix d’une présence végétale envahissante, qui étouffe mais donne à respirer tout à la fois. (Source : La Mèche) 

Pour plus d’informations sur ce roman


À découvrir

Les anciens étudiants et anciennes étudiantes ne sont pas en reste et font paraître cet automne des titres déjà remarqués par la critique!  

Angelina Guo, Comparution (Le Quartanier)  

Astrid Aprahamian, Le Chemin le plus sombre (Leméac) 

Gabriel Cholette, Le straight park (Triptyque) 


Vivre McGill en français tient à remercier Isabelle Arseneau, professeure au DLTC, pour sa contribution à la rédaction de cette page

Collation des grades 2024 – Mot du recteur

Du 28 mai au 5 juin prochains se dérouleront les célébrations entourant la collation des grades. Ce moment, toujours synonyme de réjouissances pour la communauté mcgilloise, sera l’occasion pour les membres de la cohorte 2024 de marquer la fin d’un chapitre important et le début d’une nouvelle étape de leur parcours personnel et professionnel.

Pendant leur formation, ces diplômées et diplômés ont bien sûr acquis les connaissances et les compétences qui leur permettront de réussir, mais ils ont aussi eu la chance de vivre cette période formatrice de leur vie à Montréal, une chance qui a enrichi leur parcours.

En effet, le sentiment d’appartenance à cette grande ville où créativité, culture et innovation sont omniprésentes et à la communauté dynamique dont notre université fait partie – et où convergent des étudiantes et étudiants multilingues de plus de 150 pays, – a sans contredit façonné nos diplômés de multiples façons.

Les liens qu’ils auront noués durant leur parcours à l’Université McGill sont une porte ouverte sur le monde. Je suis convaincu que la promotion de 2024, à l’instar de celles qui l’ont précédée, saura déployer le plein potentiel des outils que leur formation universitaire leur aura permis d’acquérir pour servir leurs pairs, ici comme ailleurs. Qu’ils demeurent au Québec ou s’établissent à l’étranger – ou encore, comme moi, renouent avec cette merveilleuse ville après quelques années –, nos jeunes diplômés occuperont le rôle d’ambassadrices et d’ambassadeurs de Montréal et du Québec, et participeront à leur rayonnement dans le monde entier.

Toutes mes félicitations aux diplômés de 2024! J’ai très hâte de voir les formidables réalisations qui porteront votre signature. Au plaisir de vous revoir!

 

Cordialement,

 

Le recteur et vice-chancelier,

Deep Saini


Visages mcgillois – Spécial diplomé·e·s : Abdul, Anne-Julie, Madison et Maia

Des diplômé·e·s francophones et francophiles de tous les horizons ont accepté de partager leur expérience dans notre université ainsi que ce qu’elle leur a apporté durant leur cheminement académique.  

Découvrons ensemble ces visages francophones et francophiles fraichement diplômés!

Nom : Abdul Laverde-Saad
Faculté : Faculté de gestion Desautels
Diplôme : Maîtrise en administration des affaires (MBA)

« Bien que j’aie appris énormément du programme d’études, je pense avoir beaucoup plus appris de mes pairs»

Pour moi, le MBA à McGill Desautels fut plus qu’une expérience académique rigoureuse; ce fut une expérience professionnelle et sociale des plus enrichissantes.

Le programme rassemble des candidats de géographies et parcours professionnels variés, et la taille de la cohorte fait en sorte que tout le monde puisse apprendre à bien se connaître et développer des relations solides. Bien que j’aie appris énormément du programme d’études, je pense avoir beaucoup plus appris de mes pairs. De plus, encore une fois due à la structure de la cohorte, l’équipe derrière le service de gestion de carrières peut se dédier à connaître les candidats de manière approfondie pour mieux les guider dans leurs objectifs professionnels.

McGill se distingue non seulement par son niveau d’enseignement de haut calibre, mais aussi par les relations qu’elle a établi avec le marché du travail local et international; chaque candidat pourra forger son propre chemin en ayant confiance de pouvoir bénéficier d’une infrastructure complète et incomparable.


Nom : Anne-Julie Gilbert
Faculté : École d’éducation permanente
Diplôme : Diplôme d’études supérieures en traduction juridique (GDLT)

« Je me féliciterai toujours d’avoir suivi mon instinct et d’avoir osé me lancer dans l’aventure McGill! »

Je me féliciterai toujours d’avoir suivi mon instinct et d’avoir osé me lancer dans l’aventure McGill! Pour ma part, cette expérience devait se dérouler à partir de Saguenay, ce qui n’aurait pas été possible sans la formule en ligne du programme de GDLT.

C’est peut-être aussi en raison de cet aspect du programme que j’avais d’abord, à tort, envisagé ces études comme un parcours solitaire. En fait, j’ai eu l’agréable surprise de rejoindre une cohorte composée à la fois de personnes jeunes et moins jeunes, qui sont issues de milieux linguistiques diversifiés, qui résident au Québec, dans les autres provinces ou même ailleurs dans le monde et qui gravitent autant dans l’univers de la traduction que dans celui du droit. Ce qui nous lie : l’amour des deux langues et le désir de transposer de façon optimale les messages — y compris de nature juridique — transmis d’une langue à l’autre.

Quel plaisir ce fut de pouvoir réaliser des études supérieures, dans un contexte où toutes barrières, qu’elles soient géographiques ou linguistiques, étaient d’emblée franchissables!


Nom : Madison Hamel
Faculté :  Département d’études intégrées en sciences de l’éducation
Diplôme : Baccalauréat en sciences de l’éducation – Pédagogie de l’immersion française

« Ce n’est que lorsque j’ai commencé mon parcours à McGill que mon côté bilingue s’est senti compris et accepté. »

J’ai grandi dans un foyer bilingue. Dès ma naissance, j’ai appris le français et l’anglais. Cependant, ayant grandi dans une communauté francophone, je me suis souvent sentie à l’écart des autres parce que je parlais deux langues. Ce n’est que lorsque j’ai commencé mon parcours à McGill que mon côté bilingue s’est senti compris et accepté.

Faire partie d’un programme où mes pairs étaient bilingues et où nous apprenions à enseigner à des étudiants multilingues a été une expérience enrichissante, en particulier grâce aux amitiés que j’ai nouées lors de mon parcours scolaire. Je suis reconnaissante pour les compétences que j’ai acquises en cours de route et pour mes professeur.es qui ont pris le temps de nous enseigner la beauté du bilinguisme et la façon d’enseigner en immersion française de manière amusante et signifiante pour les élèves.

Ce fut une expérience unique de pouvoir apprendre dans mes deux langues maternelles, en particulier le français. Maintenant que j’ai terminé mes études à l’université de McGill, j’entame ma carrière comme enseignante de français où j’aiderai des élèves non francophones à découvrir et apprécier la langue française.


Nom : Maia Mazzone
Faculté :  Département d’études intégrées en sciences de l’éducation
Diplôme : Baccalauréat en sciences de l’éducation – Pédagogie de l’immersion française

« Le programme PIF a été pour moi bien plus qu’un simple programme d’études. Il a été un voyage profondément transformateur, où j’ai plongé dans la langue française et exploré les cultures francophones […] »

Tout au long de mes études, jusqu’au tout dernier cours de mon programme de premier cycle, j’ai continué à apprendre, ce qui en dit long sur l’institution.

Il y a quelques années, je me lançais dans mon baccalauréat en enseignement du primaire en français langue seconde à l’université McGill, animée par le désir ardent de devenir enseignante. Ce parcours a été une véritable révélation, une expérience qui a façonné ma vision de l’enseignement.

Le programme PIF a été pour moi bien plus qu’un simple programme d’études. Il a été un voyage profondément transformateur, où j’ai plongé dans la langue française et exploré les cultures francophones à travers des cours dynamiques et des échanges passionnants avec mes pairs et mes enseignants.

Mon expérience à McGill a été une source d’inspiration et de croissance personnelle. Elle m’a non seulement permis d’approfondir mes connaissances académiques, mais aussi de développer une ouverture d’esprit et une sensibilité interculturelle qui seront des atouts précieux dans ma vie professionnelle et personnelle. Je suis reconnaissante envers McGill pour cette expérience inestimable et je suis impatiente d’offrir une expérience éducative aussi enrichissante à mes futurs élèves en français langue seconde.


Visages mcgillois – Spécial diplomé·e·s : Jeremy, Chloé, Rayan et Ericka

Des diplômé·e·s francophones et francophiles de tous les horizons ont accepté de partager leur expérience dans notre université ainsi que ce qu’elle leur a apporté durant leur cheminement académique.  

Découvrons ensemble ces visages francophones et francophiles fraichement diplômés!

Nom : Jérémy Nadeau-Fortin
Faculté : École de physiothérapie et d’ergothérapie, Faculté de médecine et des sciences de la santé
Diplôme : M. Sc. Physiothérapie 

«[…] hâte aux prochains défis qui m’attendent, comme futur propriétaire d’une clinique de physiothérapie et possiblement comme chargé de cours en physiothérapie à McGill.»

Mes années d’études à la maîtrise en physiothérapie à McGill m’ont permis d’acquérir une expertise professionnelle aux côtés de professeurs qui ont été des modèles pour ma pratique future. J’y ai aussi rencontré des gens qui sont devenus des amis proches, dans mon programme et au sein de divers comités et groupes étudiants, dont le comité organisateur des Jeux d’ergothérapie et de physiothérapie et la coordination de Frosh.

Je remercie tous les gens qui m’ont soutenu pendant mes années d’études! J’ai maintenant hâte aux prochains défis qui m’attendent, comme futur propriétaire d’une clinique de physiothérapie et possiblement comme chargé de cours en physiothérapie à McGill.


Nom : Chloé Ami Pélata
Faculté : Faculté des Arts
Diplôme : Baccalauréat en arts — Spécialisation en langue et littérature françaises, mineure en langue et littérature est-asiatiques. 

«[…] je quitte McGill avec bien plus qu’un diplôme.»

Étant de nationalité franco-japonaise et ayant vécu entre Tokyo, Paris et San Francisco, j’ai grandi en ressentant à la fois un besoin de rester attachée à mes racines et un désir de découvrir d’autres cultures et pays. C’est ce paradoxe qui m’a amenée à choisir McGill.

Ici, j’ai pu poursuivre une spécialisation enrichie en langue et littérature françaises avec une mineure en langue et littérature est-asiatiques  –– le tout, dans un milieu québécois qui prône une compréhension nuancée et contre-hégémonique de la littérature française.

Enfant, mes parents me parlaient de leur expérience universitaire de façon très pragmatique. « L’université est une étape nécessaire quant à ta carrière ». Certes. Mais aujourd’hui, je quitte McGill avec bien plus qu’un diplôme. Accompagnée d’amis du monde entier, de professeurs qui m’ont soutenue, encouragée et inspirée tout au long de mon parcours, et de collègues qui m’ont motivée à placer la barre toujours plus haut, je me sens à jamais reconnaissante envers McGill et, surtout, envers le DLTC. 


Nom : Rayan Tibiche-Dahmoune
Faculté : Faculté de droit
Diplôme : BCL/JD

« Durant mon parcours à la faculté de droit, je me suis impliqué au sein de l’AÉD et de l’Association des étudiant.e.s nord-africain.e.s en droit en tant que vice-président aux finances. »

J’ai été admis à la faculté en 2020 après avoir obtenu mon diplôme d’étude collégiale du collège John-Abbott au sein du programme Honours Social Science. Durant mon parcours à la faculté de droit, je me suis impliqué au sein de l’AÉD et de l’Association des étudiant.e.s nord-africain.e.s en droit en tant que vice-président aux finances. J’ai également été assistant de recherche pour les professeures Allison Christians et Sarah Riley Case.

En deuxième année, aux côtés de mes collègues et ami.e.s Jean Malek, Samar-Balkiss Benaskeur et Osayma Saad, j’ai représenté la faculté de droit de McGill à la compétition Enjeux de Droit, où nous avons remporté le prix du meilleur cas étudiant. J’ai également remporté le prix « MVP » dans le cadre de ce concours.

À ma troisième année, j’ai dû animer Skit Nite, plaider à la coupe Sopinka, et naviguer la première moitié de la Course aux Stages en l’espace d’une semaine. La préparation, l’exécution et le dénouement de ces épreuves ont été des moments déterminants dans mon parcours académique.

J’entamerai l’École du Barreau en septembre prochain. Je rejoindrai ensuite mes collègues et mes ami.e.s dans les bureaux de McCarthy Tétrault, à Montréal, afin de compléter mon stage du Barreau. 


Nom : Ericka Iny
Faculté : École de médecine, Campus Outaouais, Faculté de médecine et sciences de la santé
Diplôme : MDCM

« Faire partie de la cohorte sur le Campus Outaouais à Gatineau était formidable car cela nous a permis de développer une communauté très unie. »

Je fais partie de la première cohorte du programme MDCM sur le Campus Outaouais, et je viens de Montréal. Rejoindre l’école de médecine pendant la pandémie a été difficile, mais tout le monde a partagé ces mêmes expériences. Faire partie de la cohorte sur le Campus Outaouais à Gatineau était formidable car cela nous a permis de développer une communauté très unie : nous n’étions que 24 étudiantes et étudiants, ce qui a rendu très facile de nouer des amitiés proches.

Je vais maintenant rejoindre le Département d’obstétrique et de gynécologie de l’Université McGill en tant que résidente, j’ai très hâte!

Nouvelles

Conférences, prix, championnat oratoire, balados en français, initiatives et portraits inspirants. Voyez les nouveautés qui ont animé la communauté au cours des derniers mois.

 

L’Université McGill dévoile le nom des récipiendaires d’un doctorat honorifique

À l’occasion des cérémonies de collation des grades qui se tiendront du 28 mai au 5 juin, l’Université McGill décernera un doctorat honorifique à 10 lauréats et lauréates, afin de souligner leurs apports remarquables et leur exemplarité dans leur domaine respectif. Le doctorat honorifique est le plus grand honneur décerné par l’Université pour rendre hommage aux personnalités exemplaires dans les domaines de la recherche, de la science ou des arts.

Plusieurs francophones du milieu des affaires, de la scène musicale et du monde agricole font partie des individus récompensés pour leur parcours exceptionnel.

 

https://reporter.mcgill.ca/luniversite-mcgill-devoile-le-nom-des-recipiendaires-dun-doctorat-honorifique/


La cohorte 2024 de la bourse McCall MacBain 

Après une dernière ronde d’entrevues au mois de mars dernier, 30 étudiant.e.s originaires de 11 pays différents se sont vu.e.s décerner la bourse McCall MacBain. Cet automne, cette nouvelle cohorte commencera des études professionnelles ou de maîtrise financées par l’Université McGill, tout en participant à un programme de leadership et de mentorat. Nous leur souhaitons la bienvenue à McGill…et la meilleure des chances pour le futur.

 

https://reporter.mcgill.ca/rencontrer-les-laureat·e·s-des-bourses-mccall-macbain


Une doctorante de McGill sur les ondes de Radio-Canada

La doctorante en géographie à McGill, Mélie Monnerat, est fière de représenter son université chaque mardi, sur trois stations de Radio-Canada en quelques minutes seulement, offrant ainsi une belle vitrine à notre institution et à notre engagement francophone. Rejoignez-la pour une exploration passionnante de la science derrière les enjeux tels que les changements climatiques, les traités nationaux et internationaux et bien plus encore. Pour suivre ses chroniques chaque mardi matin: Y a pas deux matins pareils (Toronto), Matins du Nord (Sudbury) et Matins sans frontières (Windsor).

 

En primeur : Vivre McGill publiera dès le mois de juin l’ensemble des balados sur son site afin de souligner le travail de cette doctorante au sein de la communauté.

https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/600/matins-sans-frontieres


5 membres ambassadeurs Montréal et qui viennent de McGill

Le 4 avril dernier, les professeurs Dominic Frigon, Elena Benett, David Juncker, Momar Ndao et Martin Olivier ont été mis à l’honneur lors du Gala des ambassadeurs 2024 au Palais des congrès de Montréal. Leur contribution remarquable favorise activement la croissance économique et sociétale de la ville, faisant ainsi de l’Université un élément moteur à Montréal.  Notons enfin que McGill est la seule organisation qui compte plus d’une personne honorée par le Palais des congrès.

 

https://reporter.mcgill.ca/cinq-membres-du-corps-enseignant-nommes-ambassadeurs-de-montreal


Cap sur la médecine en région

Andrée-Ann Béchard, étudiante en troisième année de médecine au Campus Outaouais de l’Université McGill, espère exercer la médecine de famille en région. Son rêve est sur le point de devenir réalité, en partie grâce à une bourse gouvernementale offerte aux futurs médecins qui comptent travailler loin des grands centres. Une belle initiative qui permet aux futur.e.s médecins de se développer en région!

 

https://www.mcgill.ca/schoolofmedicine/fr/article/andree-ann-bechard-cap-sur-la-medecine-en-region


McGill a remporté le championnat de débat oratoire, une première depuis longtemps

Un grand bravo au club de débat francophone de McGill qui a remporté, les 16 et 17 mars derniers la Coupe Laurier. Ce Championnat national de débat francophone est un tournoi organisé par l’Association de rhétorique générale de l’Université du Québec à Montréal (ARGUQÀM) en partenariat avec la Ligue de débat universitaire et collégiale (LiDUC). Bravo à toutes et tous les participant.e.s ! Ce fut une victoire grandement savourée!

 

Les bienfaits des études génétiques

La professeure Claude Bhérer et son équipe étudient le génome des populations fondatrices et leurs maladies génétiques, notamment le syndrome de Leigh de type canadien-français. Suite à la découverte de la maladie chez deux membres de sa famille, cette professeure adjointe à l’École des sciences biomédicales de la Faculté de médecine et des sciences de la santé de McGill consacre ses travaux de recherche à l’« effet fondateur ». Cet effet fait référence aux conséquences génétiques qui peuvent se manifester lorsqu’un sous-groupe de fondateurs quitte une population source pour former une nouvelle population.

 

https://lebulletel.mcgill.ca/leffet-fondateur-sous-la-loupe


Évènements

Congrès, concert, festival, réseautage et éclipse solaire. Voyez les évènements qui ont animé la communauté au cours des derniers mois.

 

91e congrès de l’ACFAS

Du 13 au 17 mai derniers s’est déroulé le 91e congrès de l’Acfas à l’Université d’Ottawa. Le thème de cette année étant « Mobiliser des savoirs en français », l’évènement a donné l’occasion à une trentaine d’universités canadiennes et internationales, chercheurs et chercheuses, de présenter et partager leurs projets et résultats de recherches scientifiques à notre société. Félicitations aux chercheurs et chercheuses, étudiants et étudiantes de McGill qui ont participé au congrès, faisant ainsi rayonner les sciences en français.

 

https://www.acfas.ca


Une finaliste mcgilloise à ma thèse en 180 secondes

Bravo à Manon Fantino, doctorante à McGill, qui a participé à la finale le 15 mai dernier. Son projet de recherche portait sur une le rôle des facteurs génétiques et environnementaux sur nos comportements alimentaires et le risque de maladies cardiométaboliques. Le concours MT180, organisé par le congrès de l’Acfas depuis 2012, s’adresse aux doctorant.es, qui ont pour objectif de présenter en 3 minutes un exposé clair, concis et convaincant de leur thèse.

 

https://www.acfas.ca/medias/communique/acfas-annonce-recipiendaires-finale-nationale-2024-du-concours-ma-these-180


Parler et chanter en français 

Nicole Chan, doctorante en musique, a offert une performance vocale le 8 mai dernier à l’école de musique Schulich en danois, en italien, en allemand et en français. En plus de mener à bien son doctorat, Nicole prend aussi des cours de français langue seconde à l’école d’éducation permanente de l’Université. Nous la félicitons pour son implication et sa brillante prestation!

https://www.mcgill.ca/music/channels/event/doctoral-recital-nicole-chan-soprano-354351


Quand le Québec brille de mille feux au Festival du livre de Paris 

Du 12 au 14 avril, le Québec était à l’honneur au Festival du Livre de Paris. Alain Farah, professeur à McGill au département des littératures de langue française, de traduction et de création (DLTC) était l’invité d’honneur pour des séances dédicaces et notamment des discussions avec l’académicien Danny Laferrière et Heather O’Neill. 

 

Source: Facebook DLTC

https://www.festivaldulivredeparis.fr/fr/programmation/view/588/mille-secrets-pour-un-certain-art-de-vivre


Le secteur du langage du droit 

Le 2 mai a eu lieu le Rendez-vous du secteur du langage du droit, au Centre des mémoires montréalaises (MEM). Cet évènement de réseautage organisé par l’École d’éducation permanente a permis d’en apprendre davantage sur le secteur du droit et du langage et aussi de souligner le nouvel ouvrage de Prof. Gémar sur la jurilinguistique.

 

https://www.mcgill.ca/continuingstudies/fr/channels/event/rendez-vous-du-secteur-du-langage-du-droit-356635


Éclipse sur le campus et au Mont St-Hilaire

McGill a accueilli des milliers de personnes à l’occasion de l’éclipse solaire qui a eu lieu le 8 avril dernier. Grâce à l’organisation d’une série d’évènements publics sur le campus, à la Réserve naturelle de Gault et à l’ouest de l’île, les foules montréalaises se sont rendues sur les trois sites, munies de lunettes, pour regarder ce spectacle incroyable et (presque) unique. Entre applaudissements, émerveillements, cris de joie, un temps parfait et une atmosphère plus que festive étaient au rendez-vous!

 

https://www.mcgill.ca/science/fr/channels/news/eclipse-solaire-des-milliers-de-personnes-se-rassemblent-mcgill-356738


À venir

93e congrès des sciences humaines et sociales

De retour à Montréal pour la première fois depuis 2009, et à l’Université McGill depuis près de 50 ans, le congrès des sciences humaines et sociales aura lieu du 12 au 21 juin 2024 à l’Université. Près de 100 sociétés savantes et des milliers d’universitaires se réuniront et partageront leurs idées, mettant ainsi en valeur l’excellence de la recherche canadienne.

 

https://www.federationhss.ca/fr/congres2024


20 novembre 2024

Les profs de français langue seconde ont la parole

Afin de mettre en lumière le métier de professeur.e de français, nous avons demandé à nos enseignant.e.s de nous parler de leur passion et de leur métier. À l’image de ...

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20 novembre 2024

Voici une liste de 25 sigles et acronymes utiles au Québec 

Transport  STM – Société de transport de Montréal  RTL – Régie de transport de Longueuil  STL – Société de transport de Laval  REM – Réseau express métropolitain    Commerces et ...

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30 septembre 2024

Vivre McGill en français – Une nouvelle année à l’horizon

Au début d’une nouvelle année universitaire, l’enthousiasme est palpable et les possibilités sont infinies. J’adore voir l’animation revenir sur nos campus quand les McGilloises et les McGillois entament un nouveau ...

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30 septembre 2024

Nouveaux visages mcgillois – Pourquoi j’ai choisi McGill

Que ce soit en droit, en littérature, en éducation, en médecine ou en français, de nombreux et nombreuses francophones et francophiles de tous les horizons ont choisi McGill pour se ...

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30 septembre 2024

La rentrée littéraire à McGill

La rentrée n’est pas qu’académique à McGill, elle est aussi fièrement littéraire!    Saviez-vous qu’Éric Dupont, auteur renommé, travaille à McGill? Il vient de publier son nouveau roman, La ricaneuse, pour ...

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24 mai 2024

Collation des grades 2024 – Mot du recteur

Du 28 mai au 5 juin prochains se dérouleront les célébrations entourant la collation des grades. Ce moment, toujours synonyme de réjouissances pour la communauté mcgilloise, sera l’occasion pour les membres de ...

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24 mai 2024

Visages mcgillois – Spécial diplomé·e·s : Abdul, Anne-Julie, Madison et Maia

Des diplômé·e·s francophones et francophiles de tous les horizons ont accepté de partager leur expérience dans notre université ainsi que ce qu’elle leur a apporté durant leur cheminement académique.   Découvrons ...

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24 mai 2024

Visages mcgillois – Spécial diplomé·e·s : Jeremy, Chloé, Rayan et Ericka

Des diplômé·e·s francophones et francophiles de tous les horizons ont accepté de partager leur expérience dans notre université ainsi que ce qu’elle leur a apporté durant leur cheminement académique.   Découvrons ...

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24 mai 2024

Nouvelles

Conférences, prix, championnat oratoire, balados en français, initiatives et portraits inspirants. Voyez les nouveautés qui ont animé la communauté au cours des derniers mois.   L’Université McGill dévoile le nom ...

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24 mai 2024

Évènements

Congrès, concert, festival, réseautage et éclipse solaire. Voyez les évènements qui ont animé la communauté au cours des derniers mois.   91e congrès de l’ACFAS Du 13 au 17 mai ...

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