McGill, c’est pour moi – Visages mcgillois

Ils ont décidé de changer leur vie et de venir s’installer à Montréal.  Ces francophones et francophiles venus d’ailleurs ont choisi McGill comme tremplin pour leur carrière.

Je suis Vénézuélien et j’étudie à McGill

Nom : Frank Rosales Ortiz

Profession : avocat

Faculté/École : École d’éducation permanente

« Le français est la clé qui vous permet d’ouvrir la porte du marché du travail au Québec. Cependant, pour mieux y évoluer, il faut bien maîtriser la langue de Molière, surtout pour les immigrants ayant d’autres langues maternelles.

Mon expérience m’amène à cette conclusion: d’origine vénézuélienne, je suis arrivé à Montréal en 2011 en tant que travailleur qualifié. Ayant travaillé comme avocat pendant 8 ans au Venezuela, j’ai décidé de reprendre mes études en droit pour exercer ma profession sur le sol québécois. Désormais, je suis membre du Barreau du Québec. Néanmoins, le chemin n’a pas été facile.

Pour moi, l’apprentissage d’une langue est un processus constant: être capable d’utiliser différents registres de langue, de comprendre les expressions et les dictons, d’acquérir le nouveau vocabulaire, tout cela est important pour les négociations, les entrevues, les rapports de travail, la correspondance, etc. C’est justement ce que j’ai trouvé à McGill: d’excellents cours me permettant d’améliorer et d’approfondir mes connaissances du français. »

 

Je suis Ukrainienne et j’étudie à McGill

Nom : Yuliya Gorelkina

Faculté/École : Faculté de gestion Desautels / Centre d’enseignement du français

« J’étudie la finance à la faculté de gestion Desautels et je poursuis une concentration mineure en français. Ma famille, qui est de nationalité ukrainienne mais d’origine russe, a immigré au Canada quand j’avais sept ans. Ainsi, l’apprentissage des langues fait partie de ma vie depuis mon enfance.

J’ai eu la chance de suivre une séquence de cours avancés au Centre d’enseignement du français de l’Université McGill. L’apprentissage du français, que ce soit l’analyse du langage des médias ou des structures grammaticales, a élargi mes horizons en m’aidant à acquérir des compétences que je n’aurais jamais acquises par la seule étude de la finance.

L’apprentissage du français m’a également aidée à m’intégrer à la communauté montréalaise et m’a préparée pour mon stage dans le milieu bilingue de la Banque du Canada. J’espère commencer mes études de deuxième cycle en politique économique internationale à Paris l’automne prochain. En ce moment, j’attends avec impatience le résultat de ma demande d’admission. »

 

Je suis Français et j’étudie à McGill

Nom : Adrien Léger

Faculté/École : Faculté des arts

« Après avoir fait ma scolarisation en France et au Cambodge, j’ai intégré la Faculté des arts de McGill en 2014 pour y étudier la science politique et l’économie sous la forme d’une double licence.  Issu d’un milieu multiculturel, étant d’origine indienne, française et canadienne, j’ai immédiatement eu ce sentiment d’être à l’aise et accepté au sein du milieu universitaire et au Québec en général.

Présentement en dernière année de mes études à Montréal, je peux prendre du recul par rapport à mon expérience à McGill, et dire que mon parcours ici m’a non seulement permis d’approfondir mes connaissances et de développer un réel intérêt pour les relations internationales et l’économie du développement, mais qu’il m’a aussi permis de m’affirmer en tant qu’individu membre de la communauté francophone qui souhaite partager son héritage culturel avec le reste du monde. Dès le début, que ce soit en résidence universitaire ou en classe, j’ai été frappé par la grande diversité culturelle et géographique des étudiants et du corps enseignant. Chaque communauté a un club ou une société qui est là pour la représenter et transmettre sa culture grâce à des évènements culturels, éducatifs et divertissants.

C’est en constatant cela que j’ai décidé d’intégrer le McGill Francophone Society (MFS), anciennement le French Students’ Club (FSC), en seconde année en tant que représentant culturel. Aujourd’hui, je m’occupe de la logistique interne de cette association étudiante à but non lucratif, dans un contexte où elle ne cesse de grandir et de se répandre sur le campus de McGill et dans la vie étudiante. C’est grâce à mon travail à la MFS et mes études que j’ai pu m’épanouir et réaliser que je voulais m’engager dans une carrière où je pourrais représenter la France et la francophonie. »

 

Je suis Américain et j’enseigne à McGill

Nom : Edward Klorman

Faculté/École : École de musique Schulich

« J’ai récemment déménagé à McGill après avoir passé seize ans à New York. C’est merveilleux de m’installer dans une ville et une communauté universitaire aussi cosmopolites et bilingues. Pendant ma première année à McGill, j’ai dirigé un séminaire sur la musique de chambre de Mozart et son rapport à l’art de la conversation, ce dernier ayant été hautement cultivé dans les salons parisiens au siècle des Lumières. C’était merveilleux d’avoir des francophones au séminaire, car ils nous ont aidés à apprécier les nuances dans les textes historiques que nous avons examinés. Dans mes cours de premier cycle, quand nous étudions l’opéra ou les mélodies avec des textes en français, on peut examiner de manière détaillée la relation entre les mots individuels et la musique, puisque la grande majorité des étudiants ont une bonne connaissance du français.

Au début, quand je suis arrivé à Montréal, j’avais très peu d’expérience avec le français. Cependant, j’ai appris à prendre de l’assurance grâce aux cours que j’ai suivis à l’École d’éducation permanente et aux échanges linguistiques avec mes étudiants et mes collègues francophones. Chaque mois, je publie mes devoirs écrits en français sur les médias sociaux (généralement des essais humoristiques), et j’ai des amis partout dans le monde qui suivent mes progrès lents mais réguliers avec la langue française. »

Edward Klorman est professeur adjoint de la théorie de la musique à l’École de musique Schulich.

 

Je suis Sino-Américaine et je travaille à McGill

Nom : Yvonne Hung

Unité: McGill Writing Center

« Quand j’ai quitté Montréal après avoir fait mon baccalauréat en psychologie à l’Université McGill, je n’aurais jamais imaginé être de retour. En tant qu’Américaine, je n’avais pas vraiment envisagé l’idée de rester ici. Mais après des années passées à New York, à Los Angeles et à Berlin, je me suis retrouvée à revisiter mon histoire géographique quand mon mari a accepté une offre d’emploi ici.

Mes connaissances de la ville et de la langue française, acquises à  une autre époque,  nous ont aidés, mais il fallait que je comprenne aussi les structures pour les enfants (les garderies, les haltes-garderies, les écoles, etc.) et pour trouver un emploi. J’ai tout de suite su que je devais améliorer mon français.  Grâce à McGill, nous avons suivi des cours de français à l’École d’éducation permanente pendant plusieurs semestres et nous avons aussi travaillé fort pour être à l’aise de parler la langue.

Heureusement, j’ai trouvé un travail très satisfaisant au McGill Writing Centre, où je coordonne Graphos, un programme pour les étudiants des cycles supérieurs et les boursiers postdoctoraux qui veulent améliorer leur communication savante. Même si que nous parlons davantage anglais et allemand chez nous (et un peu le chinois quand mes parents nous rendent visite), je continue à développer mes compétences en français.  Que ce soit à la maison lorsque nous lisons des  livres en français aux enfants, ou lorsque nous parlons avec des parents après les assemblées générales à l’école, ou au travail lorsque j’organise un colloque avec une collègue francophone, Mariève Isabel, pour le dernier congrès de l’ACFAS, j’essaie d’approfondir mes connaissances de la langue, de la culture et de la richesse de Montréal. »

NDLR : tous les textes ont été rédigés en français par les auteurs.

 

McGill dans la communauté

  • Commerce au détail : la fin n’est pas pour demain

La crise qui secoue le secteur du commerce au détail va-t-elle entrainer la mort de ce secteur? Charles de Brabant, directeur exécutif de l’École Bensadoun de gestion du commerce au détail, n’y croit pas. Après avoir travaillé pendant plus de 30 ans en marketing et en acquisition de talent en Europe et en Asie, ce diplômé de l’Université McGill entrevoit même l’avenir avec optimisme. Nous lui avons posé quatre questions pour mieux comprendre les défis de ce secteur d’activités.

Lire la suite de l’article sur le commerce au détail.

 

  • Opéra McGill présente Haendel

Opéra McGill a présenté Ariodante de Georg Friedrich Haendel du 9 au 11 novembre. Hank Knox a dirigé l’Orchestre baroque de McGill lors de ces concerts dont la mise en scène a été assurée par Aria Umewaza. Chacune des prestations a été précédée par une conférence d’une heure.
En photo : Une image tirée de Rodelina, un spectacle présenté par Opéra McGill en mars 2016.

 

  • Facebook à Montréal, d’abord une affaire d’étudiants

Les Facebook, Google et Microsoft qui ont décidé de s’installer à Montréal y ont bien sûr été attirés par le talent des chercheurs en intelligence artificielle de la ville, mais elles « viennent surtout y chercher des étudiants », dit Joëlle Pineau, professeure à l’École d’informatique de l’Université McGill.

Lire la suite de l’article.

 

  • Une exposition pour promouvoir la diversité en sciences

Depuis le 10 octobre, une nouvelle exposition interactive est présentée au Musée Redpath avec comme objectif de faire connaître le parcours scientifique des femmes et des membres des minorités visibles de la communauté mcgilloise et de partager les défis qu’ils ont dû relever.

Lire la suite de l’article.

 

  • Place aux femmes ! Les défis de l’égalité en intelligence artificielle

Innovation @ McGill et le Laboratoire d’apprentissage et de raisonnement de l’Université McGill ont accueilli une vingtaine de jeunes femmes dans le cadre de la première édition du Laboratoire d’été en intelligence artificielle. Le but de l’exercice : une formation de trois semaines destinée exclusivement aux femmes sur l’apprentissage machine ainsi que la conception et la mise au point de produits numériques.

Lire la suite de l’article.

 

  • À la découverte des sciences avec les Midis Ville-Marie

Cet été, vous avez pu élargir vos horizons tout en profitant du soleil grâce aux Midis Ville-Marie, dîners-causeries en plein air sans prétention organisés dans le cadre du 375e anniversaire de Montréal. Présentée par le Cœur des sciences de l’UQAM, cette activité a permis aux scientifiques des universités de la ville de faire sortir le savoir du laboratoire et de vulgariser leurs travaux.

Voir la liste des causeries.

 

  • Un musée à ciel ouvert

Du 13 juin au 26 octobre, l’Université McGill a offert des visites guidées de La Balade pour la Paix, un Musée à ciel ouvert, une collaboration entre le Musée des Beaux-arts de Montréal et McGill présentée dans le cadre du 375e anniversaire de la Ville de Montréal, du 50e anniversaire d’Expo 67 et du 150e anniversaire de la Confédération canadienne.

 
 

  • L’Université McGill remporte les honneurs pour ses efforts en développement durable

Le Fonds pour des projets durables de McGill a remporté, le 24 avril dernier, le premier prix dans la catégorie Institutions et Entreprises lors du 11e Gala de reconnaissance en environnement et développement durable.

Cette soirée, organisée par la Ville de Montréal et le Conseil régional de l’environnement, vise à souligner les projets novateurs des partenaires du Plan du développement durable de la collectivité montréalaise.

Lire la suite de l’article.

Nouvelles et évènements

McGill, c’est une communauté qui rayonne à travers Montréal grâce à ses professeurs émérites et ses projets collaboratifs. C’est aussi une communauté qui accueille et qui soutient les nouveaux arrivants pour leur donner les meilleures chances de réussite. Voyez les évènements qui ont marqué l’actualité mcgilloise ces derniers mois.

 

  • Les étudiants internationaux de plus en plus nombreux à McGill

Quitter son pays, sa famille et ses amis, changer son mode de vie et ses habitudes… C’est le choix courageux que de plus en plus d’étudiants internationaux font en venant étudier à Montréal.

Selon les plus récentes statistiques, l’Université McGill a vu sa population d’étudiants étrangers doubler en dix ans : ils sont maintenant plus de 12 000, originaires de 152 pays et ils représentent presque le tiers du nombre total d’étudiants!

Sans surprise, ce sont toujours les étudiants américains qui constituent le plus grand contingent d’étudiants étrangers, suivis de près par les étudiants chinois, dont le nombre a connu une progression fulgurante de 24% en dix ans! Cocorico: les Français restent néanmoins dans le trio de tête avec leurs 1875 représentants.

Quelle est l’origine de cet engouement pour le Québec et pour Montréal? Bien entendu, le fait que la métropole ait tout récemment été élue « meilleure ville pour les étudiants » démontre que les efforts de Montréal pour séduire les étudiants étrangers ont porté fruit.

Les employés du service de Gestion des effectifs étudiants de McGill ont, pour leur part, misé avec succès sur le recrutement d’étudiants venant d’ailleurs, que ce soit de diverses régions du Québec ou de l’international. Le programme des ambassadeurs a notamment joué un rôle prépondérant dans le choix de nombreux jeunes originaires de pays étrangers.

Pour connaître tous les détails sur ces statistiques, consultez l’article du McGill Reporter intitulé  « We Are the World ».

 

  • Une cérémonie de citoyenneté au Faculty Club de McGill

Le 30 octobre dernier, le Faculty Club de McGill a eu l’honneur d’être le théâtre d’une cérémonie de citoyenneté durant laquelle 40 immigrants sont devenus citoyens canadiens. Cet évènement a été organisé conjointement par McGill et Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada et présidé par la juge Veronica Johnson. À cette occasion, la principale Suzanne Fortier a participé à la cérémonie, de même que Louis Arseneault, vice-principal aux communications et relations externes.

Dans son discours adressé aux immigrants qui recevaient la citoyenneté, la juge Johnson les a encouragés à « faire des projets, à se fixer des objectifs et à travailler d’arrache-pied pour qu’ils se réalisent ». Dans le cadre du mois de l’histoire des femmes, elle a également rappelé le principe d’égalité homme-femme, si cher au Canada et inscrit dans la Charte des droits et libertés.

Prenant à son tour la parole, Suzanne Fortier a quant à elle souligné la force, la richesse et la diversité qui caractérisent la communauté canadienne.

Lisez l’article du McGill Reporter pour en savoir plus sur cet évènement.

 

  •   Les premiers diplômés récipiendaires de la bourse Fondation MasterCard félicités par Suzanne Fortier

Lors de la cérémonie de collation des grades de l’été 2017, la principale Suzanne Fortier a félicité les premiers récipiendaires de la bourse de la Fondation MasterCard qui ont obtenu leur diplôme de deuxième cycle, cinq ans après le lancement du programme.

Cette initiative donne l’occasion à des jeunes originaires d’Afrique sub-saharienne de poursuivre des études à l’Université McGill. Le but est d’encourager ces étudiants talentueux et travailleurs à compléter leur cursus universitaire à McGill afin de devenir les leaders et les créateurs d’opportunités de demain dans leurs pays d’origine.

Au total, ce sont 91 étudiants (67 étudiants de premier cycle et 24 de deuxième cycle) qui se verront offrir l’opportunité de poursuivre leurs études à McGill grâce à la bourse de la Fondation MasterCard. La moitié de ces étudiants viennent de pays francophones qui bénéficieront de l’expérience et de l’expertise acquises durant leurs sessions d’études à Montréal.

Consultez l’article du McGill Reporter pour en savoir plus sur ce sujet.

 

  • Isabelle Daunais gagne le prix André-Laurendeau 2017

Ajoutant son nom à la longue liste de prestigieux récipiendaires, Isabelle Daunais, professeure au Département de langue et littérature françaises de McGill, a reçu ce prix pour sa contribution de taille à la littérature. Elle est à l’origine d’une « véritable révolution dans la façon d’étudier et de lire le roman », le faisant passer « d’un simple genre parmi tant d’autres à un art à part entière ».

Son travail est principalement axé sur la littérature française du XIXe siècle et le roman moderne, « abordé comme une forme de pensée et d’exploration du monde ».

Elle a également apporté un regard neuf sur le roman canadien-français et québécois en publiant dernièrement « Le roman sans aventure ». Cet ouvrage lui a valu le prix Victor-Barbeau de l’Académie des lettres du Québec en 2016.

Vous pouvez lire l’élogieux article que lui a réservé l’Acfas, ainsi que l’article complet du McGill Reporter.

 

  • Étudiants de McGill et commerçants montréalais : un partenariat gagnant-gagnant pour l’apprentissage du français!

Les commerçants travaillent de longues heures et n’ont pas toujours la disponibilité nécessaire pour assister à des cours de français. C’est ce qu’a compris la Chambre de commerce du Montréal métropolitain: un nouveau programme a donc été créé afin de combler cette lacune.

Ce programme fait appel à des étudiants de McGill et à d’autres universités montréalaises pour agir à titre de tuteurs auprès des commerçants et de leurs employés. Les tuteurs leur apportent de précieuses connaissances sur la langue française et gagnent une expérience pédagogique qui leur sera bénéfique pour le reste de leur carrière.

Cette initiative souligne l’ancrage de McGill et de sa communauté étudiante dans la communauté montréalaise.

Vous pouvez consulter cet article sur le site du McGill Reporter : http://publications.mcgill.ca/reporter/2017/11/mcgill-students-helping-local-merchants-learn-french/

Consultez le site de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain où vous retrouverez tous les renseignements sur ce programme.

 

  • Perrine Leblanc devient la nouvelle écrivaine en résidence du DLLF

Perrine Leblanc est née à Montréal. Elle est diplômée en lettres de l’Université Laval et de l’Université de Montréal. Elle a exercé les métiers de correctrice et d’éditrice, notamment chez Leméac et VLB éditeur, avant de faire paraître en 2010 son premier roman, L’homme blanc (Le Quartanier), publié l’année suivante dans la collection Blanche des éditions Gallimard sous le titre Kolia, puis en traduction anglaise en 2013.

Elle a reçu le Grand prix du livre de Montréal et le prix littéraire du Gouverneur général du Canada. Son deuxième roman, Malabourg, finaliste du prix Françoise-Sagan, a paru chez Gallimard au printemps 2014. La traduction anglaise de Malabourg, The Lake, publiée par House of Anansi Press en 2015, a été finaliste du prix du Gouverneur général du Canada dans la catégorie Traductions.

Pour en savoir plus sur Perrine Leblanc, consultez sa page internet.

 

 

 

Pour plus d’informations sur les évènements à venir sur les campus et à Montréal, consultez notre site : http://vivreenfrancais.mcgill.ca/evenements/par-dates/

Des suggestions à nous faire ? Contactez-nous : vivremcgillenfrancais.scs@mcgill.ca

Vivre McGill en français

Le mot de la principale

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L’Université McGill, riche environnement bilingue où se côtoient une multitude de cultures, de langues et de perspectives de recherche, est un lieu de convergence idéal pour accueillir le plus important rassemblement scientifique multidisciplinaire de langue française, le 85e congrès annuel de l’Acfas. Du 8 au 12 mai prochain, McGill sera la fière institution hôtesse de cette formidable plateforme de dialogue et d’innovation où quelque 6 000 participants feront encore une fois avancer la science et la recherche, et ce, au moment où battra son plein l’effervescence des 375e et 150e anniversaires, respectivement, de Montréal et du Canada.

Par ailleurs, nos chercheurs et étudiants partagent en grand nombre leurs découvertes avec leurs pairs de la francophonie à chaque édition du congrès de l’Acfas, mais soulignons leur engagement particulièrement important cette année à McGill dans la tenue de nombreux colloques et communications scientifiques, ainsi que pour la réalisation du programme d’activités destinées au grand public.

Au plaisir de vous retrouver sur notre campus historique lors de cette vibrante fête du savoir qui célèbrera les nouveaux sommets de la recherche francophone.

 

Professeure Suzanne Fortier
Principale et vice-chancelière, Université McGill

 

Pour en savoir plus sur le congrès de l’Acfas :

www.acfas.ca/evenements/congres

Visages mcgillois – Spécial Acfas

J’organise le 85e congrès à McGill

Nom : Amélie Côté
Titre : Coordonnatrice pour l’évènement

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Je travaille à McGill depuis presque deux ans, d’abord en tant que conseillère en relations internationales, et maintenant, comme coordonnatrice pour la tenue sur le campus, en mai 2017, du 85e congrès annuel de l’Association francophone pour le savoir, l’Acfas. Il s’agit du plus important congrès scientifique multidisciplinaire de la francophonie avec près de 6 000 participants du Québec, du Canada et d’ailleurs.

Aux relations internationales, j’ai notamment pu constater l’ampleur des collaborations de recherche et la vivacité des ententes pour la mobilité étudiante avec des universités francophones à l’étranger, de même que l’intérêt marqué, principalement d’institutions françaises, belges et suisses, pour mettre en place un large éventail de projets communs.

Quant à l’organisation du congrès de l’Acfas à McGill, celle-ci a nécessité pendant plus d’un an une forte mobilisation des chercheurs de notre université qui font de la recherche en français ou qui souhaitent créer des liens avec leurs pairs francophones. Grâce au soutien de l’administration et des facultés, et au travail des 83 membres du comité scientifique, tous de McGill, la réponse a été fort positive et une soixantaine des quelques 210 colloques scientifiques du congrès sont organisés par des chercheurs de McGill, sans compter les présentations de nombreux étudiants des 2e et 3e cycles.

Par ailleurs, pour l’occasion, le grand public montréalais est convié sur le campus et à la ferme Macdonald à participer à une dizaine d’activités gratuites de médiation scientifique offertes en français par des équipes de McGill portant, entre autres, sur la neuroscience, l’agroalimentaire, l’aménagement urbain et les transports, la musique et la technologie, ainsi que l’innovation municipale. L’université est particulièrement heureuse d’être l’hôte cette année de cette grande fête du savoir francophone dans le contexte des célébrations du 375e anniversaire de notre ville et du 150e anniversaire du pays, autant de raisons pour réaliser une édition exceptionnelle!

 

J’enseigne, j’interviens et je fais partie du comité organisateur

Nom : Céline Le Bourdais
Faculté/École : Département de sociologie

Celine Le Bourdais(2014)

Je m’intéresse aux bouleversements profonds que les familles ont connus au cours des 40 dernières années. Dans mes cours ou dans le cadre de la direction de thèses et de mémoires, j’incite les étudiants à réfléchir sur les répercussions de ces changements sur la vie des individus et sur les enjeux qu’ils soulèvent pour la société. J’enseigne également les méthodes statistiques qui constituent un outil précieux pour mesurer l’ampleur des transformations sociales.

Ayant profité à maintes reprises de la tribune unique qu’offre le congrès de l’Acfas pour diffuser ma recherche et établir des collaborations, c’est avec grand plaisir que j’ai accepté de coprésider le comité scientifique cette année.

Pendant la semaine du congrès, je serai fort occupée. En plus de participer aux activités officielles du congrès, j’organise avec trois postdoctorantes un colloque sur « Le partage des rôles dans la famille : une transition inachevée ». Je présiderai une session sur les « dynamiques familiales » lors du colloque « L’apport longitudinal dans l’analyse des inégalités ». J’interviendrai également à la table ronde d’un colloque qui réfléchit sur la décision de publier en anglais ou en français, une question qui m’interpelle particulièrement comme francophone.

Le congrès de l’Acfas offre une occasion privilégiée de faire des découvertes et des rencontres.

J’espère vous y croiser!

 

Céline Le Bourdais est professeure et directrice du Département de sociologie et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en statistiques sociales et changement familial.

 

J’enseigne, je présente et je fais partie du comité organisateur

Nom: Michel L. Tremblay
Faculté : Faculté de médecine, Centre de recherche sur le cancer Rosalind et Morris Goodman

Portrait

C’est en français à l’Université de Sherbrooke que j’ai débuté ma carrière scientifique. Jeune étudiant en virologie, j’ai participé à mon premier congrès de l’Acfas il y a presque 40 ans. C’est à cette occasion que j’avais entendu pour la première fois le Dr Armand Frappier, un pionnier de la recherche médicale au Québec déjà retraité, donner une conférence sur l’avenir de la recherche biomédicale.

Son enthousiasme contagieux avait alors solidifié mes intentions de poursuivre ma carrière scientifique. De façon surprenante, c’est à la suite de mes études supérieures en Ontario et aux États-Unis que j’ai mieux connu l’Université McGill. La réputation mondiale de ses chercheurs et de ses étudiants, et son superbe campus au centre d’une ville francophone ont été les raisons majeures de mon retour à Montréal. À leur tour, mes étudiants ont fait des découvertes importantes et grâce à eux et à cet environnement scientifique, j’ai reçu, en 2015, le Prix du Québec qui porte le nom du Dr Frappier, le prix Armand-Frappier.

En prenant le rôle de coprésident scientifique du congrès de l’Acfas 2017 à l’Université McGill, je ferme donc la boucle d’un voyage scientifique de 40 ans. Mon engagement à l’Acfas 2017 me permet de redonner les plaisirs reçus d’un grand scientifique et d’une organisation remarquable de promotion de la science francophone à une institution universitaire exceptionnelle à qui je dois la possibilité de vivre cette passion de la recherche scientifique.

 

J’étudie et j’organise un colloque

Nom : Mariève Isabel
Faculté/École : Département de langue et littérature françaises (DLLF)

Mariève

McGill occupe une grande place dans ma vie depuis 2000. J’y ai fait toutes mes études de 1er, 2e et 3e cycles. L’interdisciplinarité, tout comme le français, sont essentiels à mes recherches sur l’imaginaire environnemental au Québec.

Candidate au doctorat au DLLF, je suis aussi chargée de cours. J’enseigne entre autres à l’École d’environnement de McGill pour le programme d’été Montreal’s Urban Sustainability Experience, dans lequel nous étudions les initiatives de développement durable à Montréal et l’histoire environnementale.

Au fil des années, McGill aura été un merveilleux laboratoire pour acquérir une multitude d’expériences enrichissantes, tant en français qu’en anglais : associations étudiantes et gouvernance universitaire, projets et comités environnementaux, média et relations publiques, etc. Forte de ces expériences en communication, mon nouveau projet, Histoire de s’inspirer, est un blogue qui porte sur l’environnement par le biais d’histoires inspirantes.

Ma plus récente implication est pour l’Acfas. Avec Yvonne Hung du McGill Writing Centre, pour lequel je travaille comme instructrice, nous organisons le colloque « Produire et partager le savoir en français : situation actuelle, enjeux et défis », un sujet au cœur même de la mission de l’Acfas.

McGill dans la communauté

  • Pour une politique d’immigration sensible au genre (mars 2017)

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Depuis cinq ans, Sonia Ben Soltane, doctorante à l’École de travail social de l’Université McGill, s’intéresse aux barrières qui nuisent à l’intégration des immigrantes à Montréal, particulièrement dans la communauté maghrébine. Son constat? Les services destinés aux immigrés ne sont tout simplement pas adaptés aux obstacles que connaissent les femmes qui arrivent au Québec.

Cette étudiante de l’Université McGill considère que l’on « sous-évalue l’influence que joue le genre dans le processus d’intégration des immigrants ».

Pour en savoir plus

 

  • La musique du Roi Soleil (mars 2017)

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Montréal possède le plus volumineux manuscrit de musique d’orgue française de l’époque de Louis XIV à avoir survécu dans le monde. Apporté en Nouvelle-France en 1724, le Livre d’orgue de Montréal a fait l’objet d’un concert marathon gratuit le 4 mars dernier à la Salle Redpath dans le cadre des festivités du 375e anniversaire de Montréal.

Coordonné par l’organiste Hans-Ola Ericsson de l’École de musique Schulich, ce projet ambitieux, composé de neuf programmes, a mis en vedette plus de 50 organistes de Montréal et des environs.

Pour en savoir plus

 

  • Montréal, meilleure ville étudiante au monde (février 2017)

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Avec les célébrations entourant le 375e anniversaire de Montréal, l’ambiance est à la fête dans la métropole québécoise. Mais voilà que la 5e édition du classement annuel QS des meilleures villes étudiantes apporte une autre raison de célébrer : Montréal est désormais considérée comme étant la destination de choix pour les études postsecondaires.

Pour en savoir plus

 

 

  • Français et Québécois : la même langue, mais pas le même nez! (février 2017)

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Les spécialistes du cerveau s’entendent pour affirmer que la perception des odeurs varie d’une culture à l’autre. Or, pour la première fois, une étude menée par des chercheurs de l’Institut neurologique de Montréal (le Neuro) établit que même lorsque deux cultures partagent la même langue et de nombreuses traditions, la réaction aux mêmes odeurs peut différer d’un groupe à l’autre.

Pour en savoir plus

 

 

  • McGill nomme M. Louis Arsenault au poste de vice-principal, communications et relations externes (janvier 2017)

 Louis-ArseneaultL’ancien vice-président, Attraction de talents, Promotion et Communications de Montréal International a commencé son mandat à McGill le 1er février 2017. Il remplace ainsi Olivier Marcil, qui fut un ardent défenseur du fait français à McGill. Il apporte à McGill plus de 20 ans d’expérience dans les domaines des communications stratégiques et marketing, des affaires publiques, des relations avec le gouvernement et les médias et de la gestion d’enjeux.

Pour en savoir plus

 

 

  • En première place et en français dans le New York Times (janvier 2017)

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Au moment où il accorde au Canada la première place parmi 52 destinations à visiter en 2017, le New York Times publie en anglais et en français un texte inédit d’Élise Turcotte sur les Cantons de l’Est.

La commande devait accompagner un dossier sur les destinations touristiques de l’heure, un classement mondial intitulé 52 Places to Go in 2017, dont le Canada est sorti grand gagnant. À cette première place, le quotidien comptait associer les récits de cinq auteurs canadiens et, à son grand étonnement, madame Turcotte figurait sur la liste. «  Sur le coup, tout ce qui m’importait, c’était de leur faire comprendre que j’écrivais en français.  » Qu’à cela ne tienne, le plus prestigieux quotidien d’Amérique ferait traduire sa nouvelle.

Pour en savoir plus

 

  • Mélodie Daoust dans les patins du « Grand Jean » (décembre 2016)

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Lauréate du Prix Jean-Béliveau de McGill, Mélodie Daoust resserre ses liens avec la grande famille du hockey.

Le 23 novembre dernier, la capitaine de l’équipe de hockey féminin de McGill, Mélodie Daoust, recevait le Prix Jean-Béliveau, la nouvelle bourse d’excellence sportive créée à l’Université McGill pour souligner les réalisations d’étudiants-athlètes exceptionnels et honorer la mémoire du légendaire capitaine des Canadiens de Montréal.
Pour en savoir plus

 

Si vous voulez en savoir plus sur les initiatives de McGill dans la communauté, abonnez-vous au mensuel McGill dans la ville.

Évènements

Colloques, francophonie et journées d’accueil des futurs étudiants francophones. Voyez les évènements qui ont fait les manchettes à McGill durant l’hiver.

 

  • La qualité des interactions au cœur de l’enseignement des langues secondes

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De nombreux ateliers et conférences ont eu lieu les 27 et 28 avril dernier sur le campus de l’Université McGill à l’occasion du 6e colloque international sur la didactique des langues secondes (CIDLS6). Le thème au programme était « Interactions significatives et authentiques en salle de classe et au-delà ». Il a réuni de nombreux chercheurs et enseignants du milieu des langues secondes pour des échanges sous forme de communications, d’ateliers interactifs et de tables rondes.

Pour en savoir plus, consultez le site du CIDLS6

 

  • Traduire la diversité textuelle et sociétale: un défi de taille

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Ayant pour thème « Le genre des êtres et des textes en traduction », le colloque de traduction s’attaque à un enjeu de société qui colle à l’actualité : la façon de représenter les différences de genre, que ce soit pour des êtres ou des lettres. Les 27 et 28 avril, McGill a accueilli des professionnels de la traduction de différentes universités du monde. Ceux-ci ont débattu des défis aussi bien linguistiques que sociologiques auxquels font face les traducteurs dans leur travail.

Pour en savoir plus, consultez le site du colloque de traduction

 

  • Vive la Francofête à McGill!

Cabane à sucre mobile

La Francofête, c’est la célébration de la langue française au Québec et cet évènement est passé par McGill du 13 au 26 mars dernier. Des activités et des concours ont été proposés aux étudiants et aux membres du personnel de l’université. Le clou de la semaine : la cabane à sucre mobile qui a réchauffé le cœur des francophones et francophiles malgré le froid qui sévissait.

 

Pour en savoir plus, consultez le site de la Francofête de McGill

 

  • Voici une journée à McGill

voici-une-journee

Des cégépiens des quatre coins de la Belle Province ont pu avoir un avant-goût exclusif de leur future vie d’étudiants à McGill. Au cours d’une expérience unique en son genre, ils ont été jumelés à des étudiants mcgillois pour découvrir le campus, les organismes et les services aux étudiants ainsi que l’horaire typique d’une journée de cours.

Gageons que cette opération séduction se traduira en une hausse marquée des inscriptions pour la rentrée de septembre!

Intéressé par nos programmes? Visitez http://www.mcgill.ca/undergraduate-admissions/fr

 

  • 9e colloque estudiantin de l’ADELFIES

Colloque ADELFIESEn janvier, l’Association des étudiant(e)s en langue et littérature françaises inscrit(e)s aux études supérieures de l’Université McGill a organisé un colloque sur le thème « Voix dissidentes – Littératures et répressions ». Il a notamment été question des effets des différentes formes de répression sur le travail littéraire et de l’instinct de résistance qu’elle peut susciter.

Pour en savoir plus, consultez la page Facebook de l’ADELFIES.

 

 

 

Pour plus d’informations sur les évènements à venir sur les campus et à Montréal, consultez notre site : http://vivreenfrancais.mcgill.ca/evenements/par-dates/

Des suggestions à nous faire ? Contactez-nous : vivremcgillenfrancais.scs@mcgill.ca

Nouvelles

  • Le Délit fête ses 40 ans

Délit40 ans

C’est en 1977, dans un climat social et culturel en pleine effervescence, que le journal Le Délit a été lancé. Son mandat de départ était de se faire la voix de la communauté francophone de McGill, mais Le Délit va aujourd’hui bien au-delà : au fil des années, le journal étudiant a su faire entrer au sein de son conseil de rédaction et dans son contenu la diversité culturelle qui caractérise l’université et en particulier sa communauté étudiante.

Loin d’être une simple traduction du contenu en anglais du McGill Daily, cette publication fait une couverture originale des évènements et des enjeux qui intéressent les francophones et francophiles de McGill.

Souhaitons-leur encore de longues années d’existence!

Lisez l’article consacré aux 40 ans du journal Le Délit.

 

  • Bravo Maestro!

Yannick-Nezet-Seguin

Le chef d’orchestre québécois Yannick Nézet-Séguin recevra un doctorat honorifique le 14 mai prochain lors d’une cérémonie spéciale à la Maison symphonique de Montréal.

L’Université McGill souhaitait ainsi honorer, selon les mots de la principale Suzanne Fortier, « les accomplissements et les talents qui lui ont valu des éloges partout dans le monde ». Professeure Fortier a également souligné combien il a su jumeler de façon inspirante son attachement à ses racines montréalaises et son désir de briller sur la scène internationale.

Directeur artistique et chef d’orchestre de l’Orchestre Métropolitain de Montréal depuis 2000, Yannick Nézet-Séguin s’est également illustré à la tête de l’orchestre philharmonique de Rotterdam, de l’orchestre de Philadelphie et du célèbre Metropolitain Opera de New York.

Pour en savoir plus, lisez l’article du McGill Reporter.

 

  • Des nouvelles du French side dans le McGill Reporter

Étudiants chill out

« Le French side de McGill a le vent dans les voiles! » C’est le titre d’un article du McGill Reporter consacré à notre site et aux nombreux efforts déployés par l’université pour encourager l’épanouissement de sa communauté francophone.

Il s’agissait du premier d’une série d’articles mensuels qui ont été publiés par le Reporter. D’autres articles suivront chaque mois pour vous tenir informés sur les évènements francophones qui font vibrer le campus de McGill.

Voici les articles de la rubrique Le French side de McGill déjà publiés et à venir:

Le French side de McGill a le vent dans les voiles  (lire l’article)
La Francofête bat son plein à McGill  (lire l’article)
Études transsystémiques à la Faculté de droit : un œil à gauche sur le français, un œil à droite sur l’anglais (lire l’article)
Entrevue avec Alexis Martin: mon expérience en résidence
Des sportifs français choisissent McGill pour se dépasser

Restez branchés sur le site Vivre McGill en français et le Reporter pour consulter les articles à venir!

 

  • Le French side s’affiche sur le campus et dans le métro

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Les affiches du French side côtoient, depuis la fin de l’hiver, celles de l’Acfas le long de l’allée menant à la Faculté des arts.

Cette visibilité accrue complète une campagne marketing d’envergure qui a été lancée dans le réseau de transports publics du Grand Montréal et sur les réseaux sociaux. Cette campagne a pris fin au début mars, générant un bond de 100 000 visionnements de notre vidéo et une augmentation de près de 40 000 pages vues sur le site.

 

Vivre McGill en français

Le mot de la principale

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Oui, le « French side » est présent et vibrant partout sur les campus et au-delà de nos murs.

Cet automne, nos conseillers ont fait la virée des cégeps de la province, de Montréal à Gaspé en passant par les Îles-de-la-Madeleine et l’Abitibi pour recruter de futurs étudiants de tous les horizons. McGill continue maintenant sa campagne en proposant de nombreuses activités à caractère francophone tout au long de l’année 2017.

Nous offrirons encore cette année en janvier l’activité Voici une journée à McGill. Cette initiative permet au futur étudiant francophone de McGill de rencontrer un étudiant ayant un parcours scolaire semblable au sien pour apprendre à s’adapter à un nouvel environnement d’apprentissage au sein d’une université anglophone. Il peut ainsi vivre une journée typique en accompagnant les étudiants de McGill  à leurs cours et aux autres endroits qu’ils fréquentent au quotidien.

McGill organisera aussi pour la première fois des webinaires et des rencontres d’étudiants en février en visant principalement les collèges francophones. Une autre belle occasion de rester connectés à la communauté et de faire connaitre nos offres et services.

Avec le 375e anniversaire de Montréal et le 150e du Canada, le congrès de l’ACFAS, les 40 ans du mensuel Le Délit et de nombreuses activités prévues dans le cadre de la Franco fête, 2017 nous réserve de nombreuses occasions de célébrer, c’est une histoire à suivre !

 

Suzanne Fortier

Principale et vice-chancelière
Université McGill

 

Pour en savoir plus sur la grande virée dans les cégeps :

http://publications.mcgill.ca/reporter/2016/10/la-grande-seduction-mcgill-deroule-le-tapis-rouge-pour-les-etudiants-francophones/

Vous souhaitez participer à l’activité « Voici une journée à McGill » ?

https://www.mcgill.ca/es/fr/voici-une-journee-mcgill

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McGill, c’est pour moi – Visages mcgillois

Ça bouge pour les francophones de McGill : les idées fusent, les projets porteurs se multiplient et les honneurs s’accumulent ! Quatre d’entre eux partagent avec vous leur parcours et leurs passions.

 

J’ai étudié à McGill

Nom : Bertrand Cesvet

Profession : président exécutif du conseil de Sid Lee

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« McGill a transformé ma vie.  Cette grande université m’a permis de m’épanouir et de m’ouvrir sur le monde. Bilingue, pluraliste, humaniste et tolérante, cette institution m’a accueilli à bras ouverts, me permettant aussi bien d’acquérir des connaissances académiques et techniques, que de laisser libre essor à ma créativité et à mon individualité.

McGill a également grandement contribué au développement de mon entreprise, Sid Lee.  Au fil des ans, l’université nous a fourni plusieurs personnes talentueuses, toutes dotées d’un esprit universel, qui ont fait de Sid Lee une entreprise québécoise audacieuse et décomplexée, convaincue qu’elle possède tout le talent nécessaire pour réussir aux quatre coins de la planète.

Pour moi, McGill est une institution très importante pour tous ceux et celles qui ont à cœur le maintien des valeurs canadiennes et l’avancement social et économique de notre pays au 21e siècle. »

 

J’étudie à McGill

Nom : Catherine Du Pont

Faculté/École : Faculté de gestion Desautels

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« Après quatre ans comme avocate de litige, je me suis inscrite au MBA de McGill pour y approfondir mes connaissances en gestion et en finance. Dès le début, j’ai été frappée par la grande diversité culturelle et géographique de mes camarades de classe. Quoique McGill abrite plusieurs clubs sociaux, aucun n’était axé sur la langue française.

Partant de ce constat, j’ai décidé de fonder le MBA Club de la Francophonie pour permettre aux étudiants d’approfondir leurs connaissances de la langue française et ainsi leur permettre de mieux apprivoiser le côté francophone de Montréal qui rend notre ville si unique en Amérique du Nord. »

 

J’enseigne à McGill

Nom : Johanne Poirier

Faculté/École : Faculté de droit

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« Diplômée de McGill, j’ai enseigné pendant près de quinze ans en Europe, avant de revenir aux sources…  Depuis 2015, j’enseigne le fédéralisme comparé mais également le cours d’introduction au droit constitutionnel à la Faculté de droit. En français.  Mes 60 étudiants et moi apprenons ensemble une nouvelle langue étrangère: celle du droit public.  En français.  J’insiste pour que les étudiants lisent la plupart des textes de loi et de jurisprudence en français ET en anglais.

L’exercice exige un effort supplémentaire de la part des étudiants en droit à McGill, mais il est porteur d’un réel potentiel pédagogique. Cette méthode permet de développer une capacité de lire deux textes de façon simultanée, de les comparer et, dès lors, d’en interroger le contenu de manière quasi automatique.

Cette habileté représente un atout considérable pour une compréhension subtile des droits canadien, comparé et international.

Par ailleurs, la Chaire Peter MacKell sur le fédéralisme me permet d’élaborer divers projets (concours de rédaction,  conférences, etc.) au sein desquels le français occupe toujours une place importante.  Voyager entre les langues nous permet de traverser des frontières épistémiques, de multiplier les perspectives analytiques, de mieux comprendre « l’autre », et dès lors, « soi-même ».  Faire de la recherche « dans les deux langues », c’est du  « pluralisme en action » ! »

Johanne Poirier est professeure à la faculté de droit et titulaire de la Chaire Peter MacKell sur le fédéralisme.

 

Je travaille à McGill

Nom : Pascal Pilotte

Unité : Gestion des installations et services auxiliaires

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« Je travaille à McGill depuis douze ans en tant que mécanicien de bâtiment dans le département de la gestion des installations et services auxiliaires.

Mon rôle est de vérifier que tous les systèmes de ventilation, de chauffage et de climatisation fonctionnent correctement et d’effectuer les réparations nécessaires en cas de problème. Ainsi, nous assurons le confort de tout le personnel et des étudiants sur le campus entier, tout au long de l’année.

J’aime beaucoup mon travail car les tâches sont diversifiées et chacune de nos actions fait une différence dans l’environnement de travail des étudiants et des employés.

Depuis environ cinq ans, je remarque une plus grande présence de la langue française dans mon milieu de travail. Je sais que je peux désormais communiquer avec tous mes collègues en français aussi bien qu’en anglais, qu’ils soient francophones ou anglophones. Ces échanges se font avec ouverture d’esprit, respect et réciprocité : je fais des efforts pour parler ta langue et tu fais des efforts pour parler la mienne.

Le prix pour les employés administratifs et de soutien que j’ai reçu des mains de la principale cet automne est un prix de groupe : mon succès au travail, je le dois au soutien de mes collègues et de mes superviseurs. »

Pascal Pilotte est l’un des cinq lauréats du Prix de la principale pour les employés administratifs et de soutien.

 

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À l’occasion de la Journée internationale des professeurs de français, l’Université McGill est fière de joindre sa voix aux institutions de la francophonie afin de souligner le travail exceptionnel de ...

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